Cinq jours qu'il n'y avait plus gouté, le sang, le sang, il ne pensait plus à rien d'autre, tuer, tout son corps criait au massacre..........
Dans une sombre ruelle peu fréquentée, un jour ou la lune se faisait discrète, il décida que le moment était venu pour lui de satisfaire son plaisir le plus élémentaire. Didaras grimpa le long de la facade de la vielle bicoque et s'arréta au balcon, il s'y assis et attendi,scrutant la ruelle, toutles sens en éveils.
Il attendi deux heures encore, assis là, n'y tenant plus, quand soudain, la proie se manifesta enfin, il sauta sur la rambarde du balcon, se tenant accroupi à 2.5 mètres au dessu de la ruelle, le trainard passa dessous, la dernière chose qu'il vit fu le scintillement d'un poignard à la lueur de la lune. Didaras se repu de son sang, le bu avec délectation jusqu'à la dernière goutte, comme d'habitude, il avit bien travaillé, le sol était immaculé, seuls les vètements de lindividu étaient couverts de sang. Didaras devait maintenant cacher le corps. Il appecru un ammoncellement de tonneaux qui, vue la fréquentation quasi nulle de la ruelle lui parurent parfaits. Il traina le corps jusqu'à ceux-ci, mais arrivé en face, remarqua une zébrure dans le sol, comme une trappe mal refermée (hj: les elfes noir sont nyctalopes, il voient dans la nuit). Il repoussa les tonneaux et ouvrit la trappe et se dit intérieurement:"la chance me sourit, la ville cache elle même ses morts". Il jetta le corps au fond et décida de revenir demain soir explorer le souterrain.